Selon un sondage Harris Interactive pour le magazine «Regards», 26 % des électeurs voteraient pour un candidat unique de la gauche. 20 % si les insoumis partaient seuls de leur côté.
Je comprends le pessimisme ambiant, mais il existe un chemin “réaliste” (pas probable, mais plausible) vers une candidature unie.
Mélenchon ne voudra jamais participer à une primaire certes, mais :
si ce sondage était avéré (bloc central faible qui ne bénéficie pas de report de voix PS, RN fort) ;
et que le candidat “union de la gauche sauf LFI” parvenait à capter tout le “vote utile” de gauche dont LFI bénéficiait aux précédentes présidentielles (et dont l’ampleur est à débattre) ;
et que LFI se retrouvait disons à 8% dans les sondages contre 16% pour ce candidat “union de gauche” ;
et que ce candidat était LFI-compatible (par exemple Hamon ou Castets, l’épouvantail étant Glucksmann).
Alors LFI aurait une pression gigantesque pour s’y rallier en échange de quelques ministères, y compris de sa base.
Avant d’arriver là il faudrait que les factions pro-NFP du PS et du PCF gagnent leurs batailles internes respectives.
Je comprends le pessimisme ambiant, mais il existe un chemin “réaliste” (pas probable, mais plausible) vers une candidature unie.
Mélenchon ne voudra jamais participer à une primaire certes, mais :
Alors LFI aurait une pression gigantesque pour s’y rallier en échange de quelques ministères, y compris de sa base.
Avant d’arriver là il faudrait que les factions pro-NFP du PS et du PCF gagnent leurs batailles internes respectives.