Alors que la lutte contre le narcotrafic est érigée en priorité nationale par le gouvernement, plusieurs témoignages corroborent le fait que certains députés et collaborateurs consomment des produits stupéfiants, notamment pour faire face à la charge de travail et la pression.
Si ils perdaient leur temps à se préoccuper de la drogue à l’assemblée nationale, qui s’occuperait de la drogue dans les banlieues ? /s